— Si nous sommes pauvres, c'est parce que Dieu nous a oubliés, mon fils.
— Dieu! dit l'enfant. Et quand se souviendra-t-il de nous, père?
— Lorsque Dieu oublie quelqu'un, mon fils, c'est pour toujours.
Co***
(Le Coiffeur a tué sa femme, p. 57-58).
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Les discours d'illusion
Quant à l'idée d'un progrès, je reste persuadé que l'humanité n'a pas évolué d'un centimètre. Le problème est que l'on cherche à nous égarer. Les discours d'illusion sont omniprésents.
Co***
Co***
Le bruit de la mort
Pendant des jours lents et dangereux, les locataires vécurent dans une attente fébrile. Une angoisse intolérable agitait leur coeur. Ils suivaient avec des yeux hagards les progrès de la macabre fissure. De jour en jour elle prenait des proportions indécentes. La maison toute entière vibrait du bruit de la mort contenue dans ses entrailles.
Co***
(La Maison de la mort certaine, p.93).
Co***
(La Maison de la mort certaine, p.93).
La Maison de la mort certaine
Ne sont-ils pas assez pervertis pour habiter cette maison en ruine, dont les fragiles murailles proclament, à la face de l'univers, la certitude d'une mort certaine?
Co***
(La Maison de la mort certaine, p. 47).
Ist es nicht eine Perversität dieses verfallene Haus zu bewohnen, dessen zerbröckelnde Wände dem Weltall die Kunde eines sicheren Todes ins Gesicht schreien?
Co***
(La Maison de la mort certaine, p. 47).
Ist es nicht eine Perversität dieses verfallene Haus zu bewohnen, dessen zerbröckelnde Wände dem Weltall die Kunde eines sicheren Todes ins Gesicht schreien?
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